“La recette d’un savon de Marseille, c’est simple : un peu d’eau, un peu d’huile, une pincée de soude, une pincée de sel et beaucoup d’amour” Michel Bianconi.
Le savoir-faire de cette savonnerie repose entièrement sur la transmission des secrets de fabrication de génération en génération, de la part de ces maîtres savonniers. FER A CHEVAL met en avant le travail manuel qui fait toute la différence.
Lorsque Raphaêl Seghin reprend l’entreprise avec son frère Yannick, le challenge est grand, C’était « Une vieille dame endormie » nous dit-il qu’ils ont décidé de relancer et remettre au goût du jour. Conscient de la notoriété de ce patrimoine marseillais, il est attentif à l’authenticité de ces produits “Le savon de Marseille fait partie du patrimoine marseillais, une marque historique avec une notoriété forte, à Marseille il y a l’OM, le pastis et le savon de Marseille“.
“Notre volonté a toujours été de de mettre en avant le savoir-faire des hommes qui travaillent dans la Savonnerie, de redonner ces lettres de noblesses à ce savoir-faire local, ce patrimoine marseillais, de le remettre au goût du jour en répondant aux attentes des consommateurs .
“On a un vrai travail, et les autres savonneries traditionnelles aussi, de refaire connaitre à la majorité de la population le vrai savon de Marseille car il a énormément de qualité, c’est un produit écologique, économique, local, qui participe aux circuits courts. C’est un produit qui permet plein d’utilisations et correspond aujourd’hui à une certaine tendance de consommation” .
“Avec Fer à Cheval, nous essayons au maximum d’avoir un impact environnemental minimum, que ce soit dans nos emballages, dans nos choix de produits ou dans notre fabrication. Nos ambitions sont grandes et je pense que le savon de Marseille a le potentiel pour y arriver”. »
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